désigne-moi un mouton !
    le grégaire, l’ Internet et l’extrémisme

Serait-ce par instinct grégaire ou lâcheté que l’humanité favoriserait son confort matériel au détriment de sa liberté ? 
État des lieux de l’internétude, son ingérence, son omniscience, son commerce ouvert, ses lois martiales et sa propagande “humanitaire“. 
Où en sommes-nous aujourd'hui avec ce monde surveillé par big brother décrit par Orwell ?
Inquiétant certes oui … mais une résistance et une conscience émerge en s’ouvrant à la question de se déconnecter de l’industrie du désir… et renouer avec l'authentique.
 

- En quoi la « loi renseignement » de Juillet 2015 est-elle une loi martiale numérique ?

- Pourquoi différencier la Toile (le Oueb) de l’Internet ?

- Quelle est la différence entre le nuage (Cloud), la base de donnée et l’ennemi terroriste ?

- Quel est l’origine des rivalités qui ont conduit aux guerres, aux génocides, aux religions et… aux boucs émissaires nécessaires ?


Pourquoi un bouquin ?

  En effet il n’est pas nécessaire
d’être «connecté» ni même d’avoir un ordinateur pour être victime du systèmisme numérique. D’ailleurs pour aborder cet ouvrage, il n’est pas nécessaire d’avoir une culture “informatique”, toutefois quelques notions simples y seront brièvement exposées.

Mais alors, de quoi s’agit-il ?

De toute évidence, le vocable Internet présente un facilitateur d’accès permettant de communiquer, échanger, partager, commercer, et même s’amuser en reliant bientôt le monde entier, à travers un gigantesque réseau neuronal, structurellement sans centre névralgique. En outre, il n’est plus nécessaire aujourd’hui d’avoir à démontrer que le flux d’informations qui lui échoie y est étroitement supervisé, car sous le contrôle abusif de son propriétaire ...

Il n’est même plus nécessaire d’être “connecté ni même d’avoir un ordinateur, pour être connecté à sa base de données. L’intensification des réseaux sociaux, la téléphonie mobile, la télérelève et les effets leviers de l’internautisme ont permis de collectiviser “asymétriquement” encore plus d’informations. En effet, la science du virtuel a ce dangereux privilège de désigner des artifices, pour ce qui doit être vu, acheté, jeté, adulé, diabolisé, voté bien sûr et... pensé surtout. Signal d’alerte s’il en est un, qu’est la maladie de l’écran, cette émergence de pathologies addictives liées aux technologies numériques, jeux vidéos, navigation compulsive …

L’auteur démontre que l’industrie talentueuse de la pensée aux mains des désigneurs ne date pas d’hier. Pratiquement tout avait été écrit dans le roman de Georges Orwell 1984 et utilisé dans le processus mondialiste. Dans ce contexte, le roman d’Orwell était certes visionnaire, à ceci près que ce n’est pas tant le fait que “le grand frère nous regarde (big brother is watching you), c’est nous qui le regardons ce sacré écran... c’est toujours nous qui lui offrons sans restriction les menus détails de notre vie privée... Nous collaborons !... Pour autant, c’est l’individu lui-même par un singulier instinct grégaire, qui réclame encore et encore plus de faux-fuyants... et d’écrans entre lui et le réel. Guy Debord nous l’avait présentée comme “La société du spectacle”, Henri Laborit comme “L’éloge de la fuite”, l’auteur la présente comme la société du “désigne…”.

Dans cet ouvrage il n’est pas seulement question d’épistémologie ou de philosophie, mais aussi sur quelle base juridique les implications orwelliennes” ont opéré le démantèlement de ce que l’on entend par droit. On abordera, notamment les grandes menaces pour l’humanité, dont la pensée calculable”, la démocratie liquide, l’argent virtuel, le compteur intelligent “Linky” (voir page suivante) et bien d’autres.

On peut le voir aussi comme un petit traité de désintoxication ... et d’hygiène numérique.


Comment ?

Le caractère original sinon subversif (?) de cet ouvrage ne se limite pas seulement à la question de savoir comment nous en sommes arrivés là, mais pourquoi ? Quel sont les fondements anthropologiques nous ayant conduit à cette société malade au point de renverser ses propres valeurs, y compris spirituelles, qu’on en arrive à douter de la signification des mots usuels. Qu’est-ce véritablement que la démocratie, sa pseudo-économie, sa pseudo-écologie et ses pseudo-religions …? Nous trouverons les réponses chez des auteurs anciens aussi divers que Sophocle, Augustin d’Hippone, Kant, Tocqueville, Nietzsche, mais aussi modernes comme Huntington et René Girard.

En fin d’ouvrage, une analyse suivie d’un bilan permet de dégager un certain nombre de propositions suscitant à la fois inquiétude mais aussi espoir.


Où ?

Ce livre est disponible en version papier seulement. Vous pouvez le commander

    soit en m’écrivant, en cliquant sur ce lien : éditions jnt,

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Réédition 2020

Cet ouvrage n’est pas disponible en ligne, excepté un fichier des notes de bas de page (1016) avec les liens de téléchargements. Vous y trouverez également les ouvrages de la bibliographie disponibles en libre accès :

  1. /Designe-moi_un_mouton_74-NDBDP.pdf

Cependant depuis la première édition (2015) quelques extraits au format PDF sont disponibles en téléchargement :

Le fichage des Français :

  1. /DMUM74-NIR.pdf

L’agrégation des données personnelles :

  1. /DMUM74-agregeons.pdf

Le compteur intelligent Linky :

  1. /DMUM74-Linky.pdf

Si vous souhaitez recevoir ces fichiers directement chez vous par la poste, faites-moi parvenir un cédé vierge, une carte SD ou une clef USB avec enveloppe retour préaffranchie adressée à :

Jean-Noël Thimonier | 471, chemin de la minière | F-42260 GRÉZOLLES

Idem pour commander le livre, avec un chèque de 30,11€ à l’ordre de Jean-Noël Thimonier ou virement à la LBP :     FR 08 20041 | 01007 | 0671350B038 | 48

L’ouvrage se présente sous couverture cartonnée au format A5 de 492 pages. Remis en main propre, son prix est de 21,90€

Si c’est pour offrir, donnez-moi le nom ou prénom de la personne pour la dédicace.


Bonne lecture !


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